Claire Marcil (née Tousignant)

J'ai connu Claire au milieu des années 70. Nous avons œuvré ensemble bénévolement dans plusieurs projets d'implication sociale dont la création du journal communautaire l'Œil Ouvert de Lac-Saint-Charles. J'ai pu apprécier sa grande générosité et son dévouement dans les causes qui la touchaient. Claire était une bonne amie et une grande dame. Ce fut pour moi un honneur de la compter parmi mes amies.

Ayant fait connaissance à la Magnétothèque, nous avons rapidement constaté un goût commun pour la musique classique et elle m'a fait connaître les oeuvres (souvent inédites) des membres de sa famille ; elle aimait en particulier les "Requiem" et j'essayais d'augmenter sa collection. Malgré son départ de l'organisme, elle a continué à prendre des nouvelles de mes projets et activités. La dernière fois que je l'ai vue, elle m'a amené à Valcartier pour voir les couleurs de l'automne ; malheureusement elle n'aura pas l'occasion de les admirer cette année. Mais elle aura eu le privilège d'entrevoir la nature profonde de l'Univers, intérêt qu'elle partageait avec Mario et dont elle m'a fait bénéficier. Mille mercis Claire.

Que de souvenirs, la famille Tousignant qui s'établit à Waterloo au milieu des années 60, où ma mère Jeanne Sénécale retrouve sa cousine Simonne. Mais c'est surtout en 68 que j'ai vraiment connu Claire, alors qu'elle était de passage au département de géologie de polytechnique de Montréal. Toujours heureux de croiser ma petite cousine entre les cours, elle toujours si souriante et si encourageante. C'est probablement ce même été que nous avions fait une excursion géologique à la mine de marbre abandonnée de Bonsecours. Repose en paix Claire près de ton Mario chéri. Recevez nos plus sincères condoléances. Marielle et Michel

Claire nous a apporté beaucoup avec sa générosité, ses conversations, son humour et sa bonne humeur. Sa présence va nous manquer. Sincères condoléances de toute l'équipe du Centre Physik de Saint-Gabriel-de-Valcartier.

Je vous offre mes sincères condoléances. Claire était une personne formidable, elle vivra dans ma mémoire pour toujours. Je perds une bonne amie et compagne de voyage. Mes pensées sont avec vous en ce jour de deuil.

Nos plus sincères condoléances . Perdre un être cher est toujours difficile, mais tout comme Mario, elle sera toujours présente dans notre coeur et notre vie, ainsi que dans la vie de tous ceux et celles qui l'aiment. Maryse et Jean

J'ai connu Claire au musée de la civilisation. Au départ ce n'était qu'une collègue de travail , mais par la suite, nous sommes devenues amies. Elle m' a fait renouer avec le théâtre que j'avais délaissé à mon arrivée à Québec et je l'en remercie humblement. D'une incroyable générosité, elle a toujours été présente pour encourager mes petiots lors de leurs incessantes campagnes de financement. De même, sa porte était toujours grand ouverte pour accueillir nos soirées de jeux de société. Et pour terminer, elle ne manquait jamais de souligner mon anniversaire par le cadeau d'un recueil de nouvelles une fois qu'elle eut appris que j'affectionnais particulièrement ce genre littéraire. Oui, Claire Marcil fut une grande dame et une extraordinaire amie, ce pourquoi son départ soudain laisse un si grand vide. Recevez mes plus sincères condoléances devant cet immense perte qui vous frappe

À toute la famille de l'oncle Norbert nos pensées vous accompagnent

Mes condoléances les plus sincères!

Toutes nos sympathies et l’expression de nos plus sincères condoléances. Nos pensées vous accompagnent. La famille Plamondon Yannick, Geneviève, Sophie et Émile

J'ai connu Claire à la Magnétothèque, où elle a guidé mes premiers pas de lectrice. Avec douceur, patience, persévérance. Jusqu'à devenir une amie très chère. J'ai aimé nos partages, qui m'enrichissaient tellement! J'ai aimé sa simplicité, son authenticité, son intelligence - et par-dessus tout son intelligence du coeur. Je la garde précieusement dans le mien. Pour toujours.

Curiosité, vivacité, intelligence, bonté et rire sonore, en cascade : voilà ce qui évoquera toujours Claire, que j’ai eu le privilège de côtoyer au Musée de la civilisation pendant plusieurs années. Je conserve, pour elle, une grande estime, et une non moins grande admiration. Mes sympathies les plus sincères aux membres de sa famille - par le sang, par alliance, par le cœur.