Mon cher Philippe, Bernadette et moi t'offrons nos condoléances suite à la perte de ton épouse que nous n'avons pas eu le plaisir de connaître puisque nous sommes partis pour le Cameroun en 1966, là où tu étais pour nous guider et nous accueillir si aimablement lors de nos premiers pas sur cette terre africaine. Nous gardons de toi le souvenir d'un homme charmant, engagé et attachant. Merci pour tout ce que tu as fait pour nous rendre notre séjour enrichissant... Georges Lauzier et Bernadette Dufour.

Mes sincères condoléances à Philippe Poulin. Je garderai un très bon souvenir de Gaby.

Philippe, ta compagnie au Cameroun(1967-68) demeure bien gravée dans nos mémoires à Jacqueline et moi. Nous avons même souvenir d'un voyage mémorable ensembles à Fernando Po. Nous ne pouvons être physiquement présents à la cérémonie mais tenons à t'exprimer notre message d'amitié, ainsi qu'aux tiens. Tu as sûrement été un accompagnateur formidable. Salut cher philosophe. Jacqueline et Luc Girard

Mes premiers souvenirs de Tante Gaby remontent aux années 60 où elle faisait escale chez nous, à Montréal, lors de ses transits par Dorval. Avec mes yeux d’enfant de cinq ans, elle était cette tante avec un accent exotique et de grosses valises. Plus tard, début des années 80, elle m’a souvent reçu à Paris. Avec l’oncle Philippe, elle était l’escale régulier de mon périple européen d’une année. C’est à cette époque que je l’ai davantage connue. En soirée, elle s’assoyait dans son fauteuil et on causait. Elle parlait lentement sans brusquer ni froisser les mots avec un timbre calme et chaleureux. Généreuse et accueillante, je lui dois ces précieux temps d’arrêts entre deux destinations où je pouvais partager mes découvertes. La dernière fois que je l’ai vu c’est en 1992 au 9 rue des Trois Bornes à Paris. Avec le recul, je constate que nos rencontres étaient souvent associées aux voyages de l’un ou de l’autre. Ces “escales” représentent donc, encore aujourd’hui, de précieux souvenirs et tante Gaby, une personne importante de cette période de ma vie de recherches dans le vieux continent. “Les voyages forment la jeunesse” dit-on. Hors de tout doute, elle aura contribué à la mienne. Sincères condoléances Oncle Philippe ainsi qu’à tous les membres de sa famille. Alain Jacques (fils de Marguerite Poulin)