Jean-François Després

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par Clarence Turgeon en mémoire de monsieur Jean-François Després.

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par Suzanne Côté et Jean Valiquette en mémoire de monsieur Jean-François Després.

Sur le coup, j'ai été choqué, presque physiquement, par l'annonce du décès de mon ami Jean-François. Pas surpris, parce que je savais son état. Sous le choc, simplement. Je suis resté figé dans mes pensées, dans mes émotions durant quelques semaines. Je voyageais à l'étranger lors de son décès et je suis rentré chez moi avec les yeux toujours secs. Mon cerveau était gelé, comme on était parfois pas mal gelés, Jeff et moi, dans les volutes du nightlife de la rue Saint-Denis des années 80 et 90. Ces années fortes, l'on va de trente à cinquante ans (il avait 31 ans à l'été 80), on les a vécues en célibataires plus ou moins endurcis, avec une blonde par-ci, une brune par-là qui durait plus longtemps que les autres, beaucoup de boucane (des Gitanes et d'autres affaires), des partys, des parties d'échecs, de la bonne bouffe, beaucoup de rires et de taquineries! J'ai passé autant de jours dans mes souvenirs nostalgiques que mes 37 ans'amitié avec Jeff... Les larmes ont définitivement empli mes yeux après ces déluges de souvenirs, parce qu'il en est resté la certitude que je l'aimais. François Berger, Montréal

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par madame Nicole Côté en mémoire de monsieur Jean-François Després.

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par monsieur Jacques Barry en mémoire de monsieur Jean-François Després.

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par monsieur Gonzague Duchesne en mémoire de monsieur Jean- François Després.

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par madame Ruth Filiatrault en mémoire de monsieur Jean- François Després.

Bonjour Suzanne, J'ai apris la triste nouvelle par mon père aujourd'hui. Je vous transmets, à toi et toute ta famille, mes plus sincères sympathies. J'espère que Julien-Pierre et Marie-Michèle vont bien, je pense souvent à eux. Les enfants les plus "cutes" que j'ai gardés, j'avais beaucoup d'affection pour eux. Ils doivent être bien grands maintenant et peut-être même à leur tour parents...Bon courage à toute la famille pour passer à travers cette épreuve qu'est la perte de quelqu'un qu'on aime.

Mes pensées sont avec toi .....

Nous tenons à rendre hommage à notre ami et collègue Jean-François Després. Peut-être était-il, pour vous, un membre de votre famille, un ami proche, un collègue de travail. Pour nous, il était un militant fermement engagé à défendre la cause du documentaire. Suite à la création de Sauvons le documentaire, ce grand gaillard discret aux cheveux gris s’est rapidement joint au cœur de l’organisation. Que ce soit pour filmer une conférence de presse ou alors des capsules web, distribuer des autocollants aux Gémeaux, participer à une consultation publique, il était toujours là : « T’as juste à m'appeler et je vais m'organiser », disait-il. Son engagement était sans compromis. Plus tard, Jean-François, accompagné de plusieurs documentaristes, a participé à mettre sur pied J'aime le documentaire, le second organisme créé pour défendre le film documentaire. Plus impliqué que jamais, il alimentait nos discussions, prêtait son équipement vidéo, coordonnait les tournages, faisait du montage et nous accueillait dans son appartement pour nos réunions. Jusqu’à nous rappeler à l’ordre lorsque ça faisait trop longtemps que l’on ne s’était pas rencontrés. Force tranquille, engagé, solidaire et généreux, c’était le genre de personne que tout le monde veut dans son équipe. À l'époque où les politiques du gouvernement de Stephen Harper frappaient durement les documentaristes, Jean-François nous avait envoyé un petit mot: « Il serait temps de se grouiller le cul, comme dit Robert Charlebois ». Un cri du cœur d’un homme toujours éminemment discret pour nous pousser à l’action. Il avait aussi écrit :« Même s'il n’en résulte rien, au moins on aura essayé ». Tu as bien raison, Jean-François. Grâce entre autres à toi, nous avons mené deux campagnes de mobilisation marquantes pour le documentaire au Québec pour lesquelles tu as été un compagnon de tous les instants. Les regroupements Sauvons le documentaire et J'aime le documentaire te saluent et te remercient de ton engagement indéfectible. Nous avons été heureux et surtout privilégiés de t’avoir à nos côtés.

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par madame Yolande Filiatrault en mémoire de monsieur Jean- François Després.

J'ai écrit un message à la famille, au sujet de mon bon vieux copain Jean-François dont je me suis préoccupé et même occupé avec une certaine constance jusqu'à la fin; mais mon mot de sympathie semble être mystérieusement disparu du présent site deux ou trois jours plus tard (ah, l'informatique!!!). Par pur hasard, j'en avais conservé une copie. Depuis l'époque de l'Académie de Québec dans les années soixante, nous sommes restés de bons copains. Nous nous sommes peut-être un temps perdu de vue, mais c'était pour mieux se retrouver, dinant souvent ensemble quand j'étais en ville au Café Cherrier où il avait ses habitudes. Nous parlions cinéma, bien entendu, télévision aussi, culture en général et projets dont un de documentaire sur la relève artistique que nous avons entrepris et qui nous a demandé beaucoup de tournages, mais qui n'a malheureusement pas abouti. J'aimais beaucoup la compagnie de Jean-François, son humour pince-sans-rire ravageur. Il est venu pêcher chez moi et je l'ai visité dans son antre de la rue Papineau à moult reprises. Puis ce fut l'île des Soeurs où j'allais le chercher régulièrement pour diner (quelques fois chez François Brunelle) ou aller faire des courses. Sûr qu'il va me manquer, souvent. Il me manque déjà, beaucoup. Je peux penser à lui tout à fait à l'aise, car il n'a semé en moi que de beaux souvenirs, tendres, chaleureux, amusants, vivants, vibrants, car, comme le veut l'expression populaire, il avait le coeur à la bonne place. Je suis sûr qu'il l'a toujours... et maintenant pour toujours. À tous, mes plus sincères condoléances

Parkinson Région Québec Chaudière-Appalaches vous présente ses plus sincères condoléances et vous informe qu’un don a été versé à notre organisme par madame Colette Filiatrault en mémoire de monsieur Jean- François Després.

Jean-François and I became friends in 1971 while studying film at Ryerson University in Toronto. I shot some of JF’s student projects and we just clicked. There was a gang of Quebecois at the school and he was one of the stars. If you wanted to find them, you just followed the scent of Gitanes and Gauloises. Sometimes we would drive back to Montreal just to soak up some culture. Jean-François shared a hip apartment in Toronto just off Yonge street where I heard (… I was married), it was party central. He met many attractive women at these parties and by the end of the three year film course his English vocabulary was amazing. After school I moved to Ottawa and Jean-François to Montreal but we kept in touch. In 1980, JF called to ask if I wanted to DP a television series he was directing. It was called Salut Santé and it was for Radio Canada in Montreal. I said YES but reminded him I didn’t speak French. JF simply said ‘don’t worry, you’ll learn’. Well, I didn’t. But JF always had my back and we shot for three seasons. On one show we needed examples of healthy foods and examples of food that kids should eat in moderation. The producers had made prior arrangements to film at Bens Delicatessen without giving them the context of the show. When we arrived at the restaurant, the waiters set up a crew table filled with free food and drink. We began by filming B-roll of large plates of french fries and smoked meat with extra fat. Then we setup to interview their wonderful old-timey staff. Their stories were moving and touching, but when JF realized they didn’t know why we were there, he said ‘cut!’. He turned to me and said ‘it’s a wrap’. That was Jean-François Després! In those days losing a days’ shoot was a big deal. The crews were large and the film stock and equipment rental was expensive. I was concerned he might be fired… but JF didn’t care. He had morals. Then there were his “Stonehaven days”. It was a great place to work with lots of freedom to create. Jean-François directed and edited many productions with a wonderful group of filmmakers. They were like an extended family. After work, JF enjoyed sitting in the outdoor cafes. He loved the downtown Montreal life. JF was creative, confident, kind, hardworking, thoughtful and, one of his best qualities, self deprecating! I always admired this in him. The last time I talked with Jean-François was in late August and we planned I’d visit him in December. I wish we could have met; just one more time. I miss you already buddy... Bill Kerrigan.