Julien Loizeau

guy et ginette vous adressent leurs plus vives et sincères condoléances pour le départ de notre JULIEN et la famille CASTEREAU se joint à nous de tout cœur. Nous aurons une pensée continuelle pour vou tous car nous avons suivi le parcours de sa maladie journellment. Nous vous embras sons très fort.

Toutes nos plus sincères condoléances madame Loizeau ainsi qu'à vos filles et petites filles. Nous avons été très heureux de lui faire plaisir pour qu'il puisse profiter de son jardin d'eau avant qu'il ne quitte. Prenez bien soin de vous gentille dame, vous étiez un couple remplit d'amour et de tendresse, il sera maintenant votre ange gardien et il veillera sur toute sa famille. Si vous avez besoin d'aide ou de quoique se soit, n'hésitez pas à nous appeler, ça nous fera plaisir. Avec toute notre affection Gaétan et Diane XoXo...

A notre Beau Frère et tonton Lorsque je t’ai vu arriver pour la première fois à RILLE, c’était pour ton mariage avec Claudette. Bien qu’encore gamin, je découvrais une famille charentaise avec des valeurs bien terriennes comme les nôtres. Très vite, j’ai vu en toi un homme éduqué, paisible, toujours à la recherche du consensus. Tu nous as apporté ton savoir et donné l’envie de voir au-delà, de découvrir le monde. Ton goût du voyage nous a entrouvert des horizons sans lesquels nous n’aurions peut être pas cherché à les connaître. Tu as très vite quitté notre terre natale pour le nouveau monde. Là, tu as su cultiver ton savoir, ton bon sens, ta capacité de management pour faire d’une modeste boulangerie une affaire industrielle ou la gerbe de blé se transforma en farine puis en or sans doute puisqu’elle s’appelait la « gerbe d’or ». Tu as su monter dans le train de la retraite très tôt, sagement, lorsqu’un acheteur se présenta, ce qui te permit de profiter avec sagesse de la vie et continuer à découvrir le monde. Tu avais attrapé le virus de notre famille avec Claudette, le travail de la terre, cette merveille qui te nourrit si tu sais l’amadouer. Tu nous montrais des photos de tes récoltes merveilleuses qui poussaient si vite chez vous. Une bien méchante maladie t’a empêché de continuer à faire le bonheur autour des tiens. Nous, comme eux, allons beaucoup te regretter. Sois assuré que nous gardons de toi le souvenir d’un sage, d’un frère très attentionné, toujours à l’écoute. Nous allons toujours penser à toi à chaque fois que quelqu’un nous fera des photos, ce qui était ta passion. On t’a toujours vu avec une caméra ou un appareil photo et c’est comme cela qu’on te verra toujours. FRANCOIS GENEVIEVE LEATITIA ESTELLE GOUBARD

Salut, copain ! Donald, mon ami de 61 ans ! Tu es parti sans nous attendre.... Je ne t'en veux pas puisque, de toute façon, tu restes dans nos nos pensées nuit et jour. Tu restes avec nous par les racines que tu as crées: Tes filles, tes petites filles, Claudettes, tous nos souvenirs... Je t'embrasse. A plus .... (mais ne m'attends pas trop tôt, tout de même, j'ai encore tant à faire !) Bernard.

À vous Madame Loizeau et au membre de votre famille, Jacques et moi vous offrons nos plus sincères condoléances en ce moment pénible de votre vie. Nos pensées vous accompagnent tout au long de cette épreuve.