À son domicile, le 23 mai 2013, à l'âge de 88 ans et 5 mois, est décédé monsieur Maurice Caron, époux de madame Thérèse Grégoire, fils de feu madame Alice Bélanger et de feu monsieur Zénon Caron. Il demeurait à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Outre son épouse, il laisse dans le deuil ses enfants : Jovette, Claude, Suzelle (feu Ross Maguire) et Mylène (Terry Schwartz); ses petits-enfants : Mélanie, Francis, Catherine, Mélissa et Jennifer; ses frères et ses sœurs : Adrienne (feu Georges Roy), Irénée (Ghislaine St-Amand), Jacques ( Lise Dionne), Irène (Bertrand Dufour), Élizabeth (feu André Lizotte) et Sr Denise; ses beaux-frères et belles-sœurs : Raymonde Lévesque (feu Anicet Caron), Benoît Imbault (feu Rita Caron) ainsi que plusieurs neveux, nièces, cousins, cousines et ami (e)s. Il a rejoint son fils Denis.
La famille recevra les condoléances, en présence du corps, à la :
Coopérative funéraire des Deux Rives
Centre funéraire du Plateau
693, ave Nérée-Tremblay, Québec G1N 4R8
Informations : 418 688-2411
Envoi d'un message de sympathie
Télécopieur : 418 688-2414
www.coopfuneraire2rives.com
le vendredi 31 mai 2013, de 19 h à 21 h. Le service religieux sera célébré le samedi 1er juin 2013 à 11 h en l'église St-Félix-de-Cap-Rouge (1460, rue Provancher, Québec), où la famille recevra les condoléances à partir de 10h30.
La famille adresse des remerciements sincères à tout le personnel du CLSC de Saint-Augustin-de-Desmaures pour la qualité des soins prodigués.
Messages de sympathie
Ma famille se joint à moi pour vous offrir le témoignage d'une sympathie profonde et sincère. Claudette et ses enfants
- Claudette Levasseur, le
31 mai 2013
Mon'Oncle Maurice, toi qui arrivais à la maison avec ta Mazda RX4 coupé sport 74, m'impressionnait, moi, qui n'avais comme référence que des gros bateaux de marque américaine, descendais de ton bolide vêtu de ton uniforme de pilote de l'air et en moins de deux nous avions droit, Caroline et moi, soit au légendaire "tour du monde" ou à une prise de lutte qui se concluait bien évidemment par un "pardon mon'oncle". James Bond décontracte qui venait séjourné entre deux vols, ta présence était synonyme de moments agréables, par lesquels tu transmettais tes valeurs de générosité et de respect sous toutes ses formes. Un nouvel itinéraire de vol se présente à toi et les commandes t'appartienne. Adieu et bon vol Mon'Oncle Maurice. Plus que sincère est ma sympathie que j'adresse en particulier à ma tante Thérèse, à mon cousin et mes cousines.
- Franck Lizotte, le
31 mai 2013
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
- Marie Claude Fortin (fille de Claude Fortin), le
29 mai 2013
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
- Suzanne Blouin, le
29 mai 2013
Que ce message vous apporte le témoignage d'une sympathie profonde et sincère.
- Suzanne &Jacques Tremblay, le
29 mai 2013
Les membres du conseil d’administration de l’Association des Matapédiens et Matapédiennes de Québec vous prient de recevoir leurs très sincères condoléances et l’expression de leur profonde sympathie. Gabriel Plante, Carmen Pelletier, Mireille Bellavance, Chantal Fournier, Richard Bégin, Gérald Plante, Jean McNicoll, Jean-Guy Turcotte.
- Association des Matapédiens et Matapédiennes de Québec, le
29 mai 2013
Que ce message vous apporte le témoignage d'une sympathie profonde et sincère.
- Alain Desrosiers, le
28 mai 2013
Je garderai toujours un excellent souvenir de Maurice que ce soit comme collègue de travail, comme pilote et comme skieur! Bon courage!
- Gilbert D'Amours, le
28 mai 2013
Mes pensées sont pour vous tous et mon oncle préférée!
- sylvain, le
27 mai 2013
Ma chère tante Thérèse, J'irai vous offrir en personne mes condoléances. D'ici là, sachez que je ressens vivement la peine que vous éprouvez.
- Clément Fortin, le
27 mai 2013
