Chère Louise, De retour d'un voyage à l'extérieur du pays, j'apprends avec la plus grande tristesse le décès de mon ami, le Dr Pierre Potvin. J'étais justement à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, dont Pierre a beaucoup aidé la faculté de médecine...comme tant d'autres facultés à travers le monde francophone. J'ai lu et j'endosse à 100% l'éloge que le Dr Yves Morin a publié sur Pierre. J'ajoute qu'ayant été près ou membre de la haute direction de l'Université Laval pendant plus de 20 ans, je ne connais aucun épisode important de la vie de cette université auquel Pierre n'ait été associé de façon étroite, soit comme décideur, soit surtout comme conseiller dont la sagesse, l'intelligence et le souci du bien commun étaient vraiment sans pareil, tout cela avec une simplicité désarmante qui conférait à ses propos un poids très considérable. J'ai beaucoup aimé ce collègue qui m'a tant aidé. Avec ma sympathie la plus profonde. Michel Gervais

Chère Madame, mes plus sincères condoléances. Nous partageons en ce moment la même peine d'avoir perdu notre conjoint. En effet, mon mari, Jean-François Dionne a précédé le votre de quelques semaines...Je suis de tout coeur avec vous. Votre ex-voisine Gisèle Garon

J'ai bien connu Pierre. Nous étions à l'université ensemble. Son père était mon prof. J'offre mes condoléances à son épouse et sa famille

Chère madame J'ai été très attristé par le décès de mon estimé collègue et ami Pierre dont j'ai toujours apprécié la justesse et la sagesse des conseil. Je regrette vivement de ne pas pouvoir être présent pour vous présenter en personne mes très sincères condoléances. Avec toute ma sympathie André C. Côté

Bonjour Robert toutes mes condoléances pour le décès de ton frère Pierre. Quand on perd un membre de sa famille surtout un proche comme son frère, on ressent le vide qui se forme autour de soi. J'ai eu maintes fois cette expérience et ce n'est pas facile de se convaincre que le cercle de la vie se rétrécie petit à petit. Nos sympathies Paule et Camille

Madame, C'est avec énormément de chagrin que nous avons appris le décès de votre mari, Monsieur Pierre Potvin, commandeur dans l'Ordre des Palmes académiques. C'est le deuxième des quatre commandeurs que comptait notre association qui disparaît en quelques mois. J'ai communiqué avec le président national de l'AMOPA, en France, qui me prie de vous communiquer ses plus sincères condoléances. Il dit: « Je tiens à vous dire toute notre peine à l'annonce du décès de Monsieur le Professeur Pierre Potvin, membre éminent de l'AMOPA du Québec, et je vous prie de transmettre à son épouse et à sa famille mes condoléances bien sincères au nom de toute la grande famille amopalienne.» En tant que président de l'AMOPA Québec et au nom de tous nos membres, vous me permettrez à mon tour de vous présenter nos plus sincères condoléances. Nous avons eu la joie de connaître Monsieur Potvin, qui a participé à quelques-unes de nos manifestations, avant que ne le frappe la maladie. Nous avons pu constater sa grande érudition et sa vaste culture. Il nous manquera. Vous seriez aimable de transmettre à toute la famille, enfants et petits-enfants ces mêmes condoléances. Nous vous disons notre soutien et notre support dans ces moments difficiles. Que Pierre repose en paix car il a bien mérité de la présence du Grand Maître! Aurélien Boivin Président de l'AMOPA Québec

Mon mari (Jean Bonenfant) et ma soeur Hélène se joignent à moi pour offrir nos plus sincères condoléances à toute la famille. Nous serons avec vous tous en pensée samedi.

Chère madame, J'apprends avec tristesse le départ de monsieur Pierre, votre conjoint. C'était un homme remarquable, au visage de bonté, que j'ai connu, trop peu, à la Section du Québec de l'AMOPA (Association des membres de l'Ordre des Palmes académiques) dont il avait le prestigieux titre de Commandeur. Je le connaissais aussi par son rayonnement universitaire comme professeur et doyen de la Faculté de médecine de l'Université Laval. J'ai vu en lui un homme affable, brillant et attentif. Je vous prie d'accepter, pour vous et les vôtres, l'expression de toute ma sympathie. Un don sera fait en sa mémoire. André Gaulin, AMOPA/Québec.

Chère Louise, J'apprends avec tristesse le décès de ton mari et je vous offre mes sincères condoléances. Serge (Genest) de l'Université Laval, mon compagnon, se joint à moi pour te signifier notre sympathie en ce moment. «C'était un monsieur bien gentil», me disait toujours Serge lorsqu'il se rappelait ton Pierre. Je ne pourrai malheureusement pas me rendre au Centre funéraire pour te voir, mais de tout mon cœur, je suis avec toi. Christiane (Truchon) de l'aqua forme xxx

Mes plus sincères condoléances à toute la famille. Jean-Jacques avait beaucoup de respect et d'amitié envers Pierre; j'espère qu'ils seront réunis. Danielle Gagné Ferland

C'est avec tristesse que j'ai appris le décès du Dr Potvin que j'ai connu en tant que doyen de la Faculté de médecine à mon entrée en poste à titre de professeur à la Faculté de médecine de l'Université Laval en 1993. Au nom de tous mes collègues du Département de médecine moléculaire et en mon nom personnel, nous vous offrons nos plus sincères condoléances. Toutes nos pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles. Dr Jean Gosselin Directeur du Département de médecine moléculaire Faculté de médecine, Université Laval

Je t'offre mes sincères condoléances à l'occasion du décès de Pierre. Suite à mes Neuf années de travail dans son laboratoire comme technologiste médicale, je ne garde que de bons souvenirs de lui et je considère qu'il m'a beaucoup apporté. Soit par sa culture, son jugement raffiné et sa délicatesse envers ceux et celles qui l'entouraient, ce fut pour moi quelqu'un qui a pour ainsi dire complèté les enseignements que je recevais à la maison. Je serai à l'extérieur de la ville jusqu'au 20 juin mais serai en pensée avec vous la prochaine fin de semaine. Au revoir, Céline Audet

Bonjour Louise, mes sympathies à toi ,les enfants et tous vos proches. Madeleine Dupuis

J'ai connu P. Potvin quand j'ai été vice-doyen à la recherche à la Faculté des lettres. Sa vive intelligence, son humanité, son humanisme m'ont frappé. Je suis heureux de l'avoir rencontré à plusieurs reprises. Un homme de culture et d'une grande générosité que j'aurais aimé mieux connaître. Avec toute ma sympathie, Hans-J. Greif