Messages de sympathie
Chère Monique , mes sympathies et à sa famille aussi.
iI va donc rejoindre Jean.
Juste en regardant la photo je savais qu’il était de la famille de Jean .
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- Raymonde Fortin, le
30 janvier 2024
Cet homme remarquable de gentillesse, m a sûrement sauvée la vie en 1968, j ai souvent pensé à lui tout au long de ma vie, il m a aidé de ses conseils, m a défendu devant le juge contre mes parents et m a à coup sûr sauvée la vie,je lui serai éternellement reconnaissance, c était un homme bon un homme d exception,à sa famille mes plus sincères condoléances.
- Renee Ste-Marie, le
4 janvier 2022
Je viens d'apprendre la triste nouvelle, ayant bien connu Me Letarte, j'en suis vraiment ébranlée et je tiens à offrir mes sincères condoléances à vous Mme Rachel ainsi qu'à toute la famille. Je garderai que de bons souvenirs de cet homme.
- Marie-Andrée Jobin, le
9 octobre 2020
Je me joins à toutes celles et ceux qui vous ont exprimé leur profonde sympathie au moment de faire vos adieux à cet homme au grand cœur.
Ancien étudiant lors d'un cours sur la responsabilité civile prodigué par l'Honorable juge René Letarte au début des années 90 à l'université Laval et, pendant plusieurs années ancien collègue de Dany (Danièle), sa fille adorée, je conserve le souvenir d'un humaniste et veux vous témoigner de l'immense amour indéfectible et de l'affection que Dany cultivait et exprimait à l'égard de son père.
François Simard
- françois Simard, le
6 octobre 2020
Veuillez recevoir toute ma sympathie. Il est parti rejoindre Claire et Dany.
- Mireille Loignon, le
6 octobre 2020
Mes sympathies à toute la famille.
- Maryse Asselin, le
26 septembre 2020
Je suis bien peinee du décès de René. Je vous offre mes us sincères condoléances.
Fabienne
- Fabienne Letarte Pattison, le
25 septembre 2020
En d'autre temps je serais en train de tous vous serrer fort dans mes bras. Je vais plutôt vous envoyer tout mon amour et toutes mes sympathies. Une bougie brulera pour René à 14h. La vie ne m'a pas permis de voir René assez souvent à mon goût mais chaque instant en sa présence a toujours été un grand plaisir.
Avec tout mon amour
Judith
- Judith Letarte, le
25 septembre 2020
René était un Être à part, d’une grande intelligence, mais aussi d’une grande simplicité et de commerce agréable. Je n’ai que de bons souvenirs de lui. Qu’il repose en paix. Mes sympathies à Rachel, à son fils et à tous ses proches. Je suis en pensée avec vous.
- François Grenon, le
25 septembre 2020
C’est un homme plein de charisme qui vient de nous quitter. Un homme chaleureux, empli de curiosité envers les autres et la vie. Jaser avec lui, c’était s’ouvrir sur le monde et découvrir l’importance qu’occupait la famille dans son cœur.
J’ai le sentiment de perdre un oncle plutôt qu’un petit-cousin
Je pense à vous tous, ses proches, et je vous offre mes plus sincères condoléances
Marie-France Grenon
- Marie-France Grenon, le
24 septembre 2020
Chère Rachel,
Je tiens à t’offrir ainsi qu’aux membres de la famille de René, mes plus sincères sympathies à l’occasion du grand départ de René. Je suis certaine que son rire retentit Là-Haut et qu’il y met aussi du piquant avec ses réparties toujours à propos.
Je conserverai de René le souvenir d’un collègue très apprécié, travailleur et désireux de rendre justice dans les meilleurs délais. Je n’oublierai pas non plus nos nombreuses conversations tauromachiques! Quel savoir qu’il avait la générosité de partager avec Denis et moi.
Je ne pourrai pas être des votres demain autrement que par la pensée... amis j’y serai de cette façon, tu peux en être certaine! Au revoir, cher René!
- Suzanne Hardy-Lemieux, le
24 septembre 2020
De beaux souvenirs me reviennent en tête quand je pense à cet oncle qui par sa bonne humeur et sa gentillesse savait rendre chaque discussion intéressante.
À vous deux et à vos familles je veux vous offrir mes plus profondes sympathies.
Je suis de tout coeur avec vous dans cette épreuve.
- Lucie Gosselin, le
24 septembre 2020
Montréal, 24 septembre 2020
Salut mon grand frère disparu trop rapidement. Tu as été mon mentor pendant de bien trop courtes années. Depuis notre tendre enfance, Paulette et toi avez constitué des exemples difficiles à suivre, mais combien stimulants ! Tes conseils m’ont toujours été utiles même si, quelquefois, je me suis permis de ne pas les suivre. Évidemment, je m’en suis repenti par la suite !
Que de belles heures dans notre prime jeunesse à Belœil. Avec Paulette, tu m’as montré à nager en me lançant au bout du quai, sans flotteur, mais tout en te tenant prêt à intervenir. « Fais comme un petit chien » qu’il me disait ! C’était ta façon de nous placer devant un défi, de nous forcer à bouger tout en te tenant tout près et disponible au cas où !
Comme tous les petits Québécois francophones, ton premier emploi rémunéré a été celui de servant de messe bien que tu rêvais de faire partie de la chorale. Plus tard, tu as comblé cette carence par ton grand amour de l’opéra dont tu es devenu un amateur insatiable et un grand connaisseur, toujours sans avoir acquis plus de dons pour le chant.
Te lever tôt n’étant pas ton fort, tu as quitté le service du curé Marchand pour devenir aide-plombier durant l’espace d’un été. Pour une raison que nous soupçonnons, tu as jugé que tu préférais changer d’air.
D’un petit emploi à un autre plus valorisant, tu es devenu garçon de table dans un restaurant italien réputé de Québec. Une nette promotion tant financière que sociale et, surtout, géographique, puisqu’il était situé en haute ville alors que nous demeurions dans Limoilou.
Parmi les conditions d’emploi, il te fallait fournier chemise blanche et pantalon noir. Va pour la chemise blanche, mais le pantalon noir pose un problème vite résolu grâce à la générosité du curé qui te fait don d’un pantalon usagé, mais propre et de l’habileté de maman pour le rendre conforme à ta taille. La fierté de circuler entre les tables parmi tout ce beau monde s’est malheureusement et brusquement terminée lorsque le contenu d’une assiette de spaghetti a lamentablement terminé sa course sur l’épaule d’une convive indignée. Mais, preuve de ta sagesse, tu as conservé non seulement la recette de la sauce à spaghetti, mais également le pantalon noir qui t’a probablement servi au début de ta carrière dans un bureau d’avocats de la rue Saint-Jean. Tu ne te lassais pas de nous raconter cette mésaventure chaque fois que nous y sommes retournés.
Sans te décourager, tu t’enrôles comme étudiant officier dans l’aviation royale canadienne. Ce qui vaut à la famille le plaisir de t’admirer dans ton bel uniforme galonné d’apprenti officier alors que tes deux jeunes frères ne portaient que l’uniforme de simples aviateurs sans grade. Durant cette période militaire, famille et amis ont pu admirer les photos des divers types d’avions dont tu avais fièrement couvert une grande partie des murs de ta chambre. Tu as quitté l’Aviation royale ou plutôt, celle-ci a préféré que tu la quittes après que l’avion léger que tu pilotais a touché le sol sans train d’atterrissage. Plus de peur que de mal, mais plus d’emploi non plus. Ce qui ne t’a évidemment pas empêché d’effectuer par la suite de nombreux vols, notamment pour la pêche et des voyages en Europe. Mais, le personnel de bord étant dans tous ces cas l’unique responsable des manœuvres.
Puis, tu t’es rapproché du Château et des bureaux du Bâtonnier en t’engageant résolument dans le commerce international. Tu as passé plusieurs saisons touristiques dans ton petit emplacement à vendre des billets de croisière sur le Fleuve et à recommander des restaurants aux touristes, contre rémunération évidemment.
À cet endroit névralgique, de saison en saison, tu rencontrais de futurs collègues dont les bureaux étaient situés tout près. Puis, tu as fièrement obtenu ton diplôme. Le premier diplômé universitaire de la famille Letarte. Tu étais dorénavant un vrai avocat. Même les grands-parents paternels étaient fiers de toi.
Mais arriva ce qui devait arriver. Un beau jour, ce gentil Bâtonnier, que tu saluais respectueusement chaque matin, t’a avisé, avec un beau sourire, que dorénavant tu contrevenais au code de conduite des avocats et devais cesser immédiatement ton travail de vendeur: incompatible avec le statut d'avocat. Catastrophe, tu te retrouvais sans emploi et plein de dettes. Heureusement, un avocat compatissant t’a pris sous son aile et t’a permis de débuter ta longue et fructueuse carrière dans son bureau situé sur la rue Saint-Jean.
Même tout jeune, tu as toujours aimé essayer de nouveaux instruments, faire des expériences et y faire participer tes proches. Comme, par exemple, évaluer sur ma tête, l’efficacité d’un rasoir électrique nouvellement acquis par papa, me forçant par la suite à porter une casquette, la palette en arrière, que maman m’a forcé à enlever à table, révélant ainsi l’ampleur du dégât. Cette fois, encore, tu as réussi à convaincre maman que ce délit n’était pas vraiment intentionnel.
N’ayant pas été un grand sportif dans ta jeunesse, tu nous as impressionnés lorsque tu as décidé de faire du ski alpin à Stoneham. Portant tes beaux costumes griffés moulants et quelque peu flamboyants, tu t’y es adonné intensément comme tu as toujours su le faire. Tu es parvenu à effectuer élégamment de longues descentes sans trop te fatiguer, ce qui t’a permis de faire ainsi un peu de ski de chalet et de créer, comme tu sais si bien le faire, de belles amitiés durables.
Ta passion pour la pêche t’a conduit dans tant de beaux coins du Québec y compris à Mont- Louis où notre guide a dû nous ravitailler en belles truites cueillies par nos blondes puisque j’insistais pour pêcher loin de l’ombre pour ne pas me faire attaquer par les moustiques. Des hameçons raffinés, avec plumeaux multicolores, tu en as laissé quelques-uns dans la gueule des saumons ou sur des branches d’arbres dérivant sur la rivière Matane ou sur la Moisie. Ça ne t’a pas empêché de persister pour, éventuellement, en préparer plusieurs dans ton fameux fumoir à fumée froide de Stoneham.
Quelle joie et quelle fierté pour nous de porter ta toge de juge le soir de ton assermentation. Un débordement, une explosion de fierté familiale. Que de chemin parcouru après cette longue et difficile période de travail ardu pour réussir à faire tes études, en assumer les frais, payer le loyer de ton petit logis sur le Chemin Saint-Louis en plus d’appuyer le reste de la famille. De servant de messe, a assistant plombier, à garçon de table, à apprenti pilote, à vendeur de billets de croisière, à avocat puis juge à la Cour Supérieure. Tu nous as donné un exemple stimulant et fait vivre des moments inoubliables pour lesquels nous te sommes tous très reconnaissants.
C’est pour tous ces souvenirs qui nous envahissent que tu vas nous manquer : pour ton sourire et ton humour raffiné, ta perspicacité et ta générosité sans oublier ta grande galanterie si appréciée comme me l’a souligné Muriel.
Affectueusement
Muriel et Jacques
- Jacques Letarte, le
24 septembre 2020
Au cours de ma carrière, j'ai eu l'occasion de voir à l'oeuvre M. l'Honorable Juge René Letarte J.C.S., dont à Amos.
J'ai pu admirer son sens de la Justice, son sens du Devoir, sa capacité à mettre les gens à l'aise, notamment !
M. le Juge Letarte : un Modèle à suivre !
Aux membres de la famille proche et éloignées, mes plus sincères condoléances !
- GAUTHIER MARIUS, le
24 septembre 2020
Chère RACHEL, Soudain, pleins d'agréables souvenirs apparaissent : à avoir côtoyé René cet avocat prestigieux ensuite comme juge compétent et d'avoir bénéficié de cette personnalité chaleureuse, pendant plusieurs années comme voisin de bureau au Palais de justice.
Rachel, à toi et la famille mes sympathies
Ross Goodwin
- Hon Ross GOODWIN, c.r., le
24 septembre 2020
C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décès de votre époux. A ma retraite depuis mon retour de vacances, j’ ai perdu le contact avec plus d’un de mes patients, mais la relation plus que professionnelle avec vous deux , remonte à plus de quinze ans alors que vous étiez parrain et marraine de confirmation de mon petit fils Thomas et en relation étroite avec mon frère Claude cure de la paroisse Notre Dame de la Garde . Soyez assurée chère madame ainsi que vos enfants et petits enfants, de nos pensées et prières . Bien à vous,Diane et Rene Côte et toute ma Famille
- Diane et Rene Cote, pharmacien, le
24 septembre 2020
Mes sympathies les plus sincères! Je pense à vous et bon courage!
- Anne Boulet, Boutique Anne Laurence, le
24 septembre 2020
A toute la famille, je présente toutes mes condoléances. L’Honorable Letarte fut un collègue de grande rréputation que j’ai eu plaisir de côtoyer à l’occasion, étant de la même génération.
Marcel Nichols
- Marcel Nichols, le
23 septembre 2020
Aux études au Séminaire de Saint-Hyacinthe René était pour moi un ami. Au cours des années, j’ai appris à connaître son impressionnant travail comme avocat, comme juge et sa passion pour les arts et la nature. Il a eu toute mon admiration. J’offre à son épouse Rachel et à la famille mes condoléances.
- Guy Laguë., le
22 septembre 2020
Chers amis, chère Rachelle
Que dire en ce moment de tristesse.
Je ne sais pas, je ne suis pas écrivain, je m’exprime avec des formes et des couleurs.
René pour moi, reste un paysage d’automne, éclatant de belles couleurs, une pluie de feuilles d’érable et de ruisseaux à truites.
René pour moi, c’est la nature chaude et belle de son Stoneham, de Trois-Saumons et de la Gaspésie.
C’est la délicatesse d’un saumon fumé et d’une fine grillade.
René, c’est la rencontre de la forêt lors de nos promenades dans le petit bois de Beloeil. Bref, René c’est la première rencontre de la nature avec nous, jeunes et un peu apeurés. Il était notre protecteur.
Un jour il nous fit avec le frère Donat, monter sur le pain de sucre de la montagne et pour la première fois de ma vie j’ai eu peur de m’envoler. La pire peur de ma vie!
René, c’était nous faire plonger du haut du pilier du centre du pont de Beloeil dans la rivière Richelieu.
René, c’était la beauté de la nature et la communion avec elle.
Salut mon grand frère et puisses-tu dans les forêts du seigneur trouver la plus belle rivière
à saumons du ciel.
Ton frère Jean
- Jean Letarte, le
21 septembre 2020
Très peiné d’apprendre le décès de René. Quand j’étais jeune avocat il a été pour moi une source d’inspiration, plus particulièrement en matière de responsabilité civile et d’évaluation des dommages.
C’était un homme intelligent et un juriste brillant.
Sincères condoléances
Hon. Jean-Louis Baudouin
- Jean-Louis Baudouin, le
21 septembre 2020
J'apprends avec chagrin le décès de cet homme qui a été marquant pour moi. J'ai eu le privilège d'être son recherchiste à la Cour d'appel (1999-2001) et aussi de garder sporadiquement contact avec lui par la suite. Cet homme chaleureux, humain, jovial et intelligent aura su m'inspirer à plusieurs niveaux. Je tiens, du plus profond de mon coeur, à offrir mes plus sincères condoléances à sa conjointe, proches et amis(es). Cher René, pour la première fois je vais me permettre de te tutoyer, tu auras été un mentor d'une qualité inestimable. Tu as été et tu seras toujours un homme bon ! Je pleure ton départ.
Me Julien Grégoire
- Me Julien Grégoire, le
21 septembre 2020
J’ai eu la chance de passer chez René et Rachel quelques jours avant que les évènements ne se précipitent. Les choses vont toujours trop vite quand il semble que les choses nous échappent.
Cet après-midi là nous avons donc regardé sans grande conviction la fin d’une partie de hockey ensemble. Ça nous donné l’occasion aussi sans grande conviction de parler du but d’Alain Coté, d’un certain Vendredi Saint. Nous touchons aussi sans plus de convictions la politique locale, provinciale et nationale, bien qu’à ce dernier chapitre ce soit disons…plus délicat.
Quand on effleure la justice, la pêche, la beauté d’un paysage, l’émotion d’un opéra, ce qu’on va manger tout à l’heure qui embaume déjà la pièce, je vois son œil étinceler.
Mais là où vraiment la passions prend le dessus c’est quand on aborde la famille, les enfants, les petit enfants, Rachel bien sûr, Rachel qui partage maintenant sa vie, Rachel qui nous traite aux petits oignons depuis toujours.
Rachel dont le rôti de porc embaume maintenant la pièce.
À table la conversation s'allège ,comme toujours. "Goute -moi ça mon Pierrot" Si vous saviez combien ce "mon Pierrot" a toujours été synonyme d'amour et de réconfort.
Puis on s'est quitté en sachant bien, sans en parler, qu’il y a toujours ce balancier d’horloge, « celui qui dit oui qui dit non, celui qui dit je t’attends » comme disait Brel je crois.
Celui qui dans son irrésistible mouvement marque l’écart entre rêve et souvenir.
Merci pour la chaleur de cette soirée et pour toutes les autres qui l’ont précédé! Tout ces souvenirs, que du bonheur a emporter.
Tu vas nous manquer
Pierrot et les enfants
Pierrot
- Pierre Letarte, le
21 septembre 2020
Sincères condoléances, suite au triste départ de celui qui fut d'abord mon prof de Droit Criminel à l'Université Laval, au milieu des années '60. Je me remémore encore l'adresse du bureau Letarte, St-Hilaire, au 8 Côte de la Fabrique et de toutes ces occasions où j'ai pu le côtoyer. Je fais miens tous les qualificatifs élogieux et les bons mots que nous pouvons lire sur ce site.
- Pierre Bernier, le
21 septembre 2020
chère rachel nous vous offrons nos plus profondes condoléances dans cette épreuve bon courage affection raymonde gilles boiteau
- raymonde gilles boiteau, le
21 septembre 2020
Montréal, le 20 septembre 2020
Salut mon grand frère.
René, tu ne seras plus ce mentor que tu as été pendant de trop courtes années. Tout jeune, tu m’as enseigné à nager. Plus tard, au séminaire, tu m’as montré comment éviter les écueils dans ce milieu enrichissant, mais plein de subtilités, de nuances et de risques.
Merci pour ton soutien indéfectible et tes conseils judicieux tant durant mes instants de bonheur et de plénitude que durant les phases plus difficiles et tumultueuses de ma vie.
Tes encouragements répétés ont joué un grand rôle dans mon cheminement de carrière.
Ta ténacité et ta résilience peu commune t’ont permis de concrétiser tes rêves les plus fous et m’ont constamment servi d’exemple.
La progression de ta carrière et tes multiples réalisations m’ont toujours épaté sans toutefois me surprendre.
Pour tout cela, je te dis un très grand merci.
Muriel se joint à moi pour te témoigner tout notre amour. Nous regrettons profondément ton départ.
Nous tenons à exprimer toute notre reconnaissance à Rachel pour son amour sans borne et sa présence de tous les instants.
Jacques Letarte
- Jacques Letarte, le
20 septembre 2020
Je viens tout juste d'apprendre le départ de René lorsque j'étais président des cols blancs de la ville de Ste-Foy j'avais conclue une entente contractuelle avec lui. ( Anecdote ) Un soir il m'appelle pour me dire qu'il ne pouvait plus nous représenter car il avait perdu le droit de pratiquer. J'étais sous le choc. Je lui demande que s'est il passé il me dit je viens d'être nommé juge ( éclat de rire de part et d'autre ) J'ai beaucoup apprécié sa collaboration son sens de l'humour son leadership. Toute mes sympathies aux familles concernés. il est René protégera ceux qu'il aime , bon voyage mon ami.
- Bruno Langlais, le
19 septembre 2020
J'ai eu la plaisir de connaitre René Letarte comme collègue à la Cour Supérieure et désire offrir à sa famille mes sincères condoléance à l'occasion de son décès.
André Desmeules.
- André Desmeules., le
19 septembre 2020
Bonjour
Je vous souhaite toute mes sympathies en ces moments difficiles.
Je suis la fille de Claude Trépanier le demi frère de René
Linda Trépanier
- Linda Trépanier , le
19 septembre 2020
Chère Mme. Simard,
C’est avec tristesse que j’apprends ce matin le décès de M. Letarte.
Au fil des années j’ai eu beaucoup de plaisir à côtoyer monsieur lors de ses passages à la bijouterie!
Mes pensées vous accompagnent vous et les membres de la famille Letarte.
Sylvain Duval
- Sylvain Duval, le
19 septembre 2020
Comme membre de la magistrature, j'ai eu le privilège de côtoyer à l'occasion cet éminent juriste, humaniste et grand sage de renom. Je n'en garde que d'élogieux souvenirs.
Hommage à sa mémoire et sincères condoléances à tous les membres de sa famille.
- Pierre Verdon, le
19 septembre 2020
J’ai connu René alors que je venais d’être nommé à la cour supérieure. Lui à Québec et moi à Montréal, mais nous avons partagé de nombreuses rencontres dans autant de comités de la cour. Je l’ai retrouvé plus formellement lors des deux années que j’ai passées à la cour d’appel où il siégeait déjà. Quel esprit supérieur, quelle disponibilité, quelle érudition et pourtant quelle humilité, qualité cardinale chez un juge. Il cultivait l’amitié avec détachement sans attendre d’autre récompense que celle de faire plaisir et de rendre service. C’était un collègue attachant dont la perte nous atteint tous et toutes.
André Denis
Juge retraité de la Cour supérieure du Québec
- André Denis, le
17 septembre 2020
A tous ceux qui aimaient Rene et qui le regrettent déjà , j'offre mes profondes condoléances. Je n'ai que de bons souvenirs des 17 ans que nous avons passe ensemble a la Cour.
- Jean Richard , le
17 septembre 2020
Nos plus sincères condoléances a Mme Simard et toutes la famille. Nous sommes de tout cœur avec vous dans cette épreuve. Bon courage.
- Alain Trépanier et Sylvie Julien, le
17 septembre 2020
Mes plus sincères condoléances a toute la famille. J'ai rencontré ce grand homme durant ma jeunesse et ce que je me souviens de lui c'est qu'il était souriant et qu'il avait une vrai joie de vivre. Il aimait beaucoup la famille et s'amuser. Que de bon souvenir.
Bon courage
- Johanne Trépanier, le
17 septembre 2020
Mes sincères condoléances à Rachel et à la famille. J'ai eu le privilège d'avoir de nombreuses discussions avec René au cours des dernières années. Un homme de grande classe qui est resté alerte intellectuellement jusqu'à la fin.
René Morin
Le 17 septembre 2020
- René Morin , le
17 septembre 2020
Veillez croire madame que je conserve de René un excellent souvenir de toutes ces belles années où j'ai eu le privilège de partager avec lui le même idéal au service des justiciables , ainsi que sur les comités de la CSQ où lui et moi nous sommes rencontrés. Je vous prie Rachelle, tant en mon nom que celui de ma femme Louise, d'accepter nos sincères condoléances et de bien vouloir les transmettre aux membres de votre famille et à tous ceux et celles que René a aimés.
L'Hon. Maurice Lagacé
- L'Hon.Maurice Lagacé, le
17 septembre 2020
Les gens qu’on aime partent toujours trop vite mais leur influence sur nos vies demeure à jamais. Oncle René m’inspirera toujours.
Toutes mes condoléances à toi Rachelle et Michel ainsi qu’à vos familles et bon courage.
Suzanne
- Suzanne Tardif, le
17 septembre 2020
René a joué un très grand rôle dans nos vies, Ginette et moi : accueil dans sa maison, avec Claire, Michel et Dany pendant mes études universitaires; contribution spéciale lors de notre mariage. Il a été comme un second père pour moi. C’était toujours un grand plaisir de le rencontrer. Notre famille, Ginette et moi présentons nos chaleureuses condoléances à Rachel, à Michel et à tous ses proches. Nous leur souhaitons de conserver longtemps les meilleurs souvenirs de son grand sourire.
Ginette Royer et Gratien Allaire (Gatineau)
- Gratien Allaire, le
17 septembre 2020
Nous étions quadruplés de nomination (avec les juges Melançon et Boilard le 31 mars 1977). Nous avons vécu dans la magistrature de nombreux évènements ensemble et comme voisins de bureau aux Palais. Que de bons souvenirs !
J'offre mes condoléances.
Jacques Philippon
- Jacques Philippon, le
17 septembre 2020
Sincères condoléances Michel,à toi et ta famille. Tu m'as souvent parlé de ton père avec le plus grand des respects et sans même le connaître je lui vouais un profond respect aussi. Bon courage dans cette difficile épreuve.
- Boris Arsenault et Chantal Auclair, le
17 septembre 2020
Perdre un être cher est toujours très difficile
Je pense à toi
Mes sincères condoléances
- Huguette Simard, le
16 septembre 2020
Mes pensées vous accompagnent dans ce deuil. Je suis certaine qu'il a été bien accompagné tout au long de sa vie jusqu'à son départ. Bon courage!
- Hélène Villeneuve, le
16 septembre 2020
Christiane et moi avons eu le plaisir de partager une table commune lors d’une croisière en partance de Québec vers les Îles de l’Atlantique. On a alors connu cet homme erudit accessible et ma foi très comique !
- Richard Belleau , le
16 septembre 2020
J’offre mes sincères condoléances.
Roger Garneau,Avocat à la retraite.
- Roger Garneau, le
16 septembre 2020
Nous offrons nos plus sincères condoléances à toute la famille. Nous somme de tout cœur avec vous. Perdre un être cher est une épreuve difficile à surmonter mais le temps fait tout en son pouvoir pour remonter cette souffrance.
- France Côté et Pierre Boisjoli, le
16 septembre 2020
nos sinceres condoléances a toute la famille de annette et claude letarte-trepanier.
- claude letarte-trepanier, le
16 septembre 2020
J’apprends avec grande tristesse le décès d’un homme majestueux, mais surtout d’un oncle positif, dynamique, amoureux de la vie et passionné professionnellement.
Les mots me manquent pour exprimer le vide qui est apparu dans mon cœur. Perdre un être cher n'est jamais facile... j'espère que le temps adoucira la douleur et apportera le réconfort et le courage nécessaires afin de traverser cette épreuve le plus sereinement possible.
Je garderai d’excellents souvenirs de l'authenticité communicative de cet être de cœur émérite, mais surtout de son rire et sourire contagieux.
Je vous offre toute ma compréhension et mes sympathies sincères.
Mes pensées sont avec vous.
- Chantal Lavoie, le
15 septembre 2020
Je suis vraiment peinée et triste du décès de René Nous avons toujours été très proche. Se rencontrer était toujours un plaisir et c'était très agréable René a toujours été très attentionné pour la famille Il était un homme bon, honnête et généreux de ses conseils dont nous avons su profiter Courage à tous Repose en paix mon cher cousin tu l'as bien mérité
- Ghislaine Grenon, le
15 septembre 2020